• B-29

    Le B-29, qui doit sa célébrité au fait que ce sont des appareils de ce type qui larguèrent des bombes atomiques sur Hiroshima (B-29 baptisé « Enola Gay ») et Nagasaki en août 1945, fut essentiellement utilisé pour le bombardement des villes et des industries japonaises.

    L’histoire du B-29 commença en 1937 lorsque apparut le XB-15 (Model 294) suite à la demande faite par l’USAAC d’un bombardier stratégique capable de transporter 9.000 kg de bombes à plus de 8.000 km de distance. Le projet de super-bombardier remontait à l’avant guerre puisque les spécifications furent émises en mars 1938. Il fallut plus de quatre ans pour que le prototype (modèle 345), désigné XB-29, effectua son vol initial en septembre 1942. Quatorze exemplaires de présérie, les YB-29, furent construits fin de l’été 1941 et aussitôt après 500 puis 1.000 autres sortirent des usines. Les machines de série entrèrent en service à la fin de l’année 1943.

    Conçu en tant qu’avion de bombardement stratégique à long rayon d’action, le B-29 était équipé de tourelles commandées à distance et d’une cabine pressurisée. Les B-29 furent l’instrument privilégié de la campagne de bombardement stratégique contre le Japon. Ils commencèrent par opérer à partir de bases chinoises. Quand les Japonais eurent neutralisés ces bases, d’autres avaient été installées dans les Mariannes (îles de Saipan et de Guam). En une seule nuit de mars 1945, les B-29 causèrent la mort de 130.000 personnes à Tokyo.

    Le B-29 (sans appellation de série) est la version la plus courante du B-29 construit et utilisé pendant la guerre avec 2.527 exemplaires. Les deux versions suivantes furent : le B-29A (1.119 exemplaires), avec une voilure modifiée supérieure de 30 cm, un emport de carburant légèrement inférieur et une tourelle de queue quadri-tube au lieu du canon de 20 mm ; et le B-29B (311 exemplaires), avec une capacité d’emport de bombes plus importante et un armement défensif réduit à la tourelle de queue.

    Le B-29 continua sa carrière après la guerre, dans l’aviation américaine, britannique (qui en acheta quelques uns) et même russe: en copiant les appareils qui avaient effectués des atterrissages de fortune en Sibérie, l’URSS produisit une copie conforme, le Tupolev-4.

    La production fut arrêtée en 1946 et le B-29 Superfortress fut remplacé dans le rôle de bombardier nucléaire par le B-36 Peacemaker. Ensuite, il se transforma en citerne volante pour mettre au point le ravitaillement en vol. En 1950, les Etats-Unis prêtèrent 70 B-29 Superfortress à la RAF dans le cadre de l’aide militaire de l’Otan. Les britannique les rebaptisèrent Washington.

    Ayant des moteurs trop peu puissants Pratt & Whitney installa des moteurs 50% plus puissant que les prédecesseurs. Il fut commandé en série en juillet 1945. Pour éviter que la fin de la guerre n’annula la commande, la dénomination « B-29 D » fut changée en « B-50 » et le tour de passe-passa suffit à maintenir une partie de la production. Cet avion servit lui après la guerre.


    En savoir plus sur http://www.avionslegendaires.net/avion-militaire/boeing-b-29-superfortress/#TT5kdDxOdcwmgZ7T.99

    Le B-29, qui doit sa célébrité au fait que ce sont des appareils de ce type qui larguèrent des bombes atomiques sur Hiroshima (B-29 baptisé « Enola Gay ») et Nagasaki en août 1945, fut essentiellement utilisé pour le bombardement des villes et des industries japonaises.

    L’histoire du B-29 commença en 1937 lorsque apparut le XB-15 (Model 294) suite à la demande faite par l’USAAC d’un bombardier stratégique capable de transporter 9.000 kg de bombes à plus de 8.000 km de distance. Le projet de super-bombardier remontait à l’avant guerre puisque les spécifications furent émises en mars 1938. Il fallut plus de quatre ans pour que le prototype (modèle 345), désigné XB-29, effectua son vol initial en septembre 1942. Quatorze exemplaires de présérie, les YB-29, furent construits fin de l’été 1941 et aussitôt après 500 puis 1.000 autres sortirent des usines. Les machines de série entrèrent en service à la fin de l’année 1943.

    Conçu en tant qu’avion de bombardement stratégique à long rayon d’action, le B-29 était équipé de tourelles commandées à distance et d’une cabine pressurisée. Les B-29 furent l’instrument privilégié de la campagne de bombardement stratégique contre le Japon. Ils commencèrent par opérer à partir de bases chinoises. Quand les Japonais eurent neutralisés ces bases, d’autres avaient été installées dans les Mariannes (îles de Saipan et de Guam). En une seule nuit de mars 1945, les B-29 causèrent la mort de 130.000 personnes à Tokyo.

    Le B-29 (sans appellation de série) est la version la plus courante du B-29 construit et utilisé pendant la guerre avec 2.527 exemplaires. Les deux versions suivantes furent : le B-29A (1.119 exemplaires), avec une voilure modifiée supérieure de 30 cm, un emport de carburant légèrement inférieur et une tourelle de queue quadri-tube au lieu du canon de 20 mm ; et le B-29B (311 exemplaires), avec une capacité d’emport de bombes plus importante et un armement défensif réduit à la tourelle de queue.

    Le B-29 continua sa carrière après la guerre, dans l’aviation américaine, britannique (qui en acheta quelques uns) et même russe: en copiant les appareils qui avaient effectués des atterrissages de fortune en Sibérie, l’URSS produisit une copie conforme, le Tupolev-4.

    La production fut arrêtée en 1946 et le B-29 Superfortress fut remplacé dans le rôle de bombardier nucléaire par le B-36 Peacemaker. Ensuite, il se transforma en citerne volante pour mettre au point le ravitaillement en vol. En 1950, les Etats-Unis prêtèrent 70 B-29 Superfortress à la RAF dans le cadre de l’aide militaire de l’Otan. Les britannique les rebaptisèrent Washington.

    Ayant des moteurs trop peu puissants Pratt & Whitney installa des moteurs 50% plus puissant que les prédecesseurs. Il fut commandé en série en juillet 1945. Pour éviter que la fin de la guerre n’annula la commande, la dénomination « B-29 D » fut changée en « B-50 » et le tour de passe-passa suffit à maintenir une partie de la production. Cet avion servit lui après la guerre.


    En savoir plus sur http://www.avionslegendaires.net/avion-militaire/boeing-b-29-superfortress/#TT5kdDxOdcwmgZ7T.99

    Le B-29, qui doit sa célébrité au fait que ce sont des appareils de ce type qui larguèrent des bombes atomiques sur Hiroshima (B-29 baptisé « Enola Gay ») et Nagasaki en août 1945, fut essentiellement utilisé pour le bombardement des villes et des industries japonaises.

    L’histoire du B-29 commença en 1937 lorsque apparut le XB-15 (Model 294) suite à la demande faite par l’USAAC d’un bombardier stratégique capable de transporter 9.000 kg de bombes à plus de 8.000 km de distance. Le projet de super-bombardier remontait à l’avant guerre puisque les spécifications furent émises en mars 1938. Il fallut plus de quatre ans pour que le prototype (modèle 345), désigné XB-29, effectua son vol initial en septembre 1942. Quatorze exemplaires de présérie, les YB-29, furent construits fin de l’été 1941 et aussitôt après 500 puis 1.000 autres sortirent des usines. Les machines de série entrèrent en service à la fin de l’année 1943.

    Conçu en tant qu’avion de bombardement stratégique à long rayon d’action, le B-29 était équipé de tourelles commandées à distance et d’une cabine pressurisée. Les B-29 furent l’instrument privilégié de la campagne de bombardement stratégique contre le Japon. Ils commencèrent par opérer à partir de bases chinoises. Quand les Japonais eurent neutralisés ces bases, d’autres avaient été installées dans les Mariannes (îles de Saipan et de Guam). En une seule nuit de mars 1945, les B-29 causèrent la mort de 130.000 personnes à Tokyo.

    Le B-29 (sans appellation de série) est la version la plus courante du B-29 construit et utilisé pendant la guerre avec 2.527 exemplaires. Les deux versions suivantes furent : le B-29A (1.119 exemplaires), avec une voilure modifiée supérieure de 30 cm, un emport de carburant légèrement inférieur et une tourelle de queue quadri-tube au lieu du canon de 20 mm ; et le B-29B (311 exemplaires), avec une capacité d’emport de bombes plus importante et un armement défensif réduit à la tourelle de queue.

    Le B-29 continua sa carrière après la guerre, dans l’aviation américaine, britannique (qui en acheta quelques uns) et même russe: en copiant les appareils qui avaient effectués des atterrissages de fortune en Sibérie, l’URSS produisit une copie conforme, le Tupolev-4.

    La production fut arrêtée en 1946 et le B-29 Superfortress fut remplacé dans le rôle de bombardier nucléaire par le B-36 Peacemaker. Ensuite, il se transforma en citerne volante pour mettre au point le ravitaillement en vol. En 1950, les Etats-Unis prêtèrent 70 B-29 Superfortress à la RAF dans le cadre de l’aide militaire de l’Otan. Les britannique les rebaptisèrent Washington.

    Ayant des moteurs trop peu puissants Pratt & Whitney installa des moteurs 50% plus puissant que les prédecesseurs. Il fut commandé en série en juillet 1945. Pour éviter que la fin de la guerre n’annula la commande, la dénomination « B-29 D » fut changée en « B-50 » et le tour de passe-passa suffit à maintenir une partie de la production. Cet avion servit lui après la guerre.


    En savoir plus sur http://www.avionslegendaires.net/avion-militaire/boeing-b-29-superfortress/#TT5kdDxOdcwmgZ7T.99

    Le B-29 Superfortress

    Le Bombardier " D'Hiroshima "


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